C’est aujourd’hui, un dimanche du mois d’avril. Je suis enfermée dans une salle d’aéroport pas tellement bondée (voire vide) d’un aéroport canadien. Je viens de passer 12 jours à conférencer, animer et magasiner dans des endroits pas perdus du tout avec des personnes… (la suite est censurée par la police des pâtes). L’avion pour Paris ne semble pas avoir de retard: promesse assurée de ne pas me faire rater mon pas dernier train pour Nevers.
Il y a quelques minutes une gentille hôtesse de l’air me propose 400 dollars et une nuit dans un somptueux hôtel pour cause de surbooking. D’un calme digne de la plus grande prêtresse bouddhiste je lui réponds : « Va mourir, je veux rentrer TOUT DE SUITE! »
D’ici 6 mois à un an, ce sera le prochain voyage en communauté pour le projet. Si quelqu’un connait un hypnothérapeute pour me permettre de me coltiner de nouveau cette si douce vie de groupe qu’il parle maintenant ou se taise à jamais!
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