Aussi incroyable que ce soit, je suis venue à bout du défi #févrierécrit
Souvenez-vous : la motivation n’était pas au rendez-vous.
J’avoue, je n’ai pas suivi les consignes.
En janvier, avec Mylène, chacune de notre côté, nous avions établi une liste de compte Instagram, de citation ou encore de newsletter qui nous inspirait. Pour le défi, nous devions rebondir sur le texte de l’autre pour écrire le nôtre ET présenter une des inspirations de notre liste.
Au vu de mon niveau d’énergie, c’était trop pour moi ! J’ai donc préféré partir dans tous les sens !
Voilà comment tout Internet a découvert mon nombre de culottes et ma face de macaque.
Ce que je retiens de ce défi, c’est que je suis définitivement une jardinière.
En écriture créative, je ne peux pas planifier un texte. Je suis incapable de faire un plan. Une vague idée ou un mot surgit dans ma tête. Je rumine toute la journée. Je finis par entendre, toujours dans ma tête, une sorte de mélodie.
Appelez-moi Jeanne d'Arc!
Vers 17 heures, je prends mon clavier. J’écris une première phrase avec cette mélodie. Et de fil en aiguille d’autres phrases surgissent.
Quand je commence un texte, je connais le point de départ. Je n’ai aucune idée du point d’arrivée et de tous les méandres que je vais suivre.
Il y a quelques mois, j’ai donné une masterclass sur l’écriture marketing à des entrepreneures. A un moment, je me suis mise à sauter dans tous les sens, faire des grands gestes et peut-être même taper sur la table en disant :
Trouver des idées, ce n’est pas un problème. Les idées, ce n’est pas le sujet.
C’est à nouveau ce que j’ai expérimenté dans #févrierécrit. Tout peut faire l’objet d’un texte. Ce qui compte c’est l’envie de chatouiller notre lecteur.
Alors, quel texte vous a le plus chatouillé?
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